The first thing that comes to most people’s minds at the thought of the Dominican are the beautiful beaches and famous tourist spots. What most fail to pay attention to is the severely diminished quality of education in the country. The Dominican Republic has one of the lowest functioning education systems in the world, with a 40% dropout rate before eight grade.
Child labour, abuse and sexual exploitation are prevalent human rights violations affecting children between 6 and 12 years. The National Child Labour Survey founds that 66% of children working in the Dominican are from 5 to 14 years old and 42% of them entered the labour industry before turning 10 years old. Teenage pregnancy is another significant contributor to dropout rates for girls where 1 in 4 girls in the Dominican get pregnant during their school years and leave education. Additionally, high school education is not mandatory and students who do graduate to pursue post-secondary education do so at a sixth grade reading level.
Perhaps the most important issue (education wise) is the alarming state of student-teacher ratios. Teachers are underpaid and struggle to support themselves and their families of their salary, thus, discouraging more educators from going into teaching jobs. This results in overcrowded classrooms which mean students are not able to get individual attention for their specific needs. Furthermore, teachers themselves are not experts on the material which hinders academic performance.
With only 2% of the GDP going towards education, the Dominican Republic has much to overcome in their education system. In the meantime, Chance to EDvance aims to support students in their after school extra curricular activities to boost morale and keep kids engaged and productive. We hope this will reduce the amount of illegal recreational activities children turn to in their free time and encourage them to spend more time in educational facilities and under the supervision of staff that can help guide them towards healthier alternatives.
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Voir au-delà de nos frontières: République dominicaine La première chose qui vient à l’esprit de la plupart des gens à l’idée de la République Dominicaine, ce sont les belles plages et les nombreux sites touristiques célèbres. Ce à quoi la plupart ne font pas attention, c'est la qualité gravement diminuée de l'éducation dans le pays. La République dominicaine possède l'un des systèmes éducatifs les moins performants au monde, avec un taux d'abandon de 40% avant la huitième année d’études.
Le travail des enfants, la maltraitance et l'exploitation sexuelle sont des violations courantes des droits de l'homme affectant les enfants de 6 à 12 ans. L’enquête nationale sur le travail des enfants révèle que 66% des enfants qui travaillent en République dominicaine ont entre 5 et 14 ans et que 42% d’entre eux sont entrés dans le secteur du travail avant leurs 10 ans. La grossesse chez les adolescentes est un autre facteur important de décrochage scolaire chez les filles, en effet, 1 fille sur 4 en République dominicaine tombe enceinte pendant ses années scolaires et abandonne son parcours scolaire. De plus, l'enseignement secondaire n'est pas obligatoire et les étudiants qui obtiennent leur diplôme pour poursuivre des études postsecondaires le font à un niveau de lecture de sixième année.
Le problème le plus important (du point de vue de l'éducation) est peut-être l'état alarmant des ratios élèves-enseignant. Les enseignants sont sous-payés et ont du mal à subvenir à leurs besoins et à ceux de leur famille, ce qui décourage davantage d'éducateurs à se lancer dans l'enseignement. Il en résulte des salles de classe surpeuplées, ce qui signifie que les élèves ne sont pas en mesure d'obtenir une attention individuelle pour leurs besoins spécifiques. De plus, les enseignants eux-mêmes ne sont pas des experts de la matière, ce qui nuit aux résultats scolaires.
Avec seulement 2% du PIB consacré à l'éducation, la République dominicaine a beaucoup à surmonter dans son système éducatif. En attendant, Chance to EDvance vise à soutenir les élèves dans leurs activités extrascolaires après l'école pour remonter le moral et garder les enfants engagés et productifs. Nous espérons que cela réduira le nombre d'activités récréatives illégales auxquelles les enfants se tournent pendant leur temps libre et les encouragera à passer plus de temps dans les établissements scolaires et sous la supervision du personnel qui peut les guider vers des alternatives plus saines.
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